Mythes et vérités sur l’école de commerce

Entrer dans une école de commerce

Vous voulez être un dirigeant de haut niveau, mais il y a beaucoup d’obstacles à franchir avant d’être accueilli aux plus hauts niveaux de la direction d’entreprise. Pour commencer, il est utile d’avoir un diplôme en commerce, mais pour beaucoup, l’école de commerce est une perspective intimidante. Vous avez probablement entendu de nombreuses rumeurs anxiogènes sur les rigueurs de l’école de commerce, qui pourraient vous avoir convaincu qu’il est pratiquement impossible d’obtenir un baccalauréat en administration des affaires.

Heureusement, la plupart des rumeurs qui circulent sur les écoles de commerce ne sont que des mythes. Voici les pires et les plus populaires mythes que vous avez pu entendre, et les vérités dont vous devriez plutôt vous souvenir.

L’acceptation des candidatures est rare

De nombreux candidats potentiels aux écoles de commerce ne prennent jamais la peine de postuler, car ils pensent que peu d’étudiants sont acceptés dans les programmes de commerce chaque année. Selon ce mythe, les écoles de commerce reçoivent un nombre si écrasant de candidatures que les personnes intéressées à s’inscrire doivent franchir des dizaines de cerceaux et pirater le système pour être même prises en compte. Vous avez peut-être entendu dire que cela ne vaut la peine de postuler que si vous pouvez envoyer votre candidature tôt ou si vous connaissez quelqu’un à l’école qui peut se porter garant pour vous.

Voici pourquoi intégrer une école de commerce :

Certaines écoles de commerce prestigieuses n’acceptent qu’un faible pourcentage de leurs candidatures, mais la plupart des écoles de commerce ont le temps d’examiner chaque candidat. Les applications se déroulent généralement en trois cycles : automne, hiver et printemps. Il est beaucoup plus important que vous soumettiez une demande complète et précise que de vous précipiter pour la recevoir tôt.

Les lacunes en matière d’emploi causent des rejets

Les candidatures aux écoles de commerce impliquent souvent un curriculum vitae ou un CV, sur lequel les candidats doivent indiquer leur formation et leur emploi. Cette demande envoie certains candidats en spirale, croyant à tort que toute imperfection dans leur parcours professionnel sera un motif valable de rejet. Vous avez peut-être pris une année sabbatique entre le lycée et l’université pour explorer le monde, ou vous avez peut-être perdu votre emploi pendant la pandémie, et maintenant vous doutez de votre capacité à entrer avec succès dans une école de commerce.

Les écoles de commerce aiment admettre des candidats ayant une sorte d’expérience en affaires, ce qui donnera aux étudiants une base d’expérience sur laquelle approfondir leurs connaissances et leurs compétences. Cependant, les écoles de commerce reconnaissent également que des lacunes se produisent dans les antécédents professionnels pour toutes sortes de raisons. Tant que vous pouvez expliquer raisonnablement l’écart lors de vos entretiens ou dans vos essais de candidature, vous ne devriez pas vous soucier de ce petit problème.

Auteur : Lucie P.

Une femme dans un monde d'hommes, et je ne parle pas de l'univers de la communication ou du marketing mais de notre société. Oui il faut se battre pour défendre ses idées et ses positions, 2 fois plus lorque l'on est une femme ! Mon job, vous donnez mes astuces et régler quelques comptes pour que vous puissiez survivre dans cette jungle !

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